Des tableaux de maitres, vieux de plusieurs siècles, ont rarement subi l’épreuve du temps sans dégâts.
Dans leur parcours ils ont été maintes fois restaurés et cela s’exécutait avec la science et les moyens typiques pour l’époque et cela à laissé ses traces. Avec quelques exemples nous allons démontrer comment, digitalement, nous pouvons aller beaucoup plus loin, ce qui nous permettras de délivrer un résultat final qui est plus proche de l’original, que se qui reste a admirer dans les musées.
Notre première exemple est la Tour de Babel de Pieter Bruegel l’Ancien, littéralement et figurativement un monument.
Les dégâts les plus fréquents sont causés par les enlèvements des anciens vernis, jaunit par vieillesse. Dans la Tour de Babel cela c’est effectué maintes fois, a chaque fois on enlevait aussi, involontairement, une fine couche de la peinture enfante. Surtout les couleurs pales, comme le jaune clair des murs du bâtiment, en souffraient. Avec comme suite que le premier croquis, exécuté en charbon de bois épais, apparaissait à travers le jaune. Bruegel a finalement effectué le croquis final en crayon et suivant la peinture finale dans une échelle un peu différente, de façon que les lignes du croquis initial sautent a l’œil. Apparemment nous voyons descendre des lignes, d’un sale gris, des murs, ce qui n’était nul l’intention du maitre.
Toutes ces lignes grises on tété enlevé pixel par pixel et remplacé par le jaune original. Ci-dessous vous voyez d’abords « avant » et puis « après » notre restauration dans lequel vous devez tenir compte que vous regardez sur un format très réduit, en vrai grandeur originale le résultat est saillant.
Une autre gaffe a en même temps aussi été corrigée. Probablement il a eu a un certain moment dans le parcours du tableau du carie sur le bords du haut du tableau. Et évidemment on ne disposait pas des résines synthétiques et components actuels pour remédier à ce dégât. Et on n’a pas trouvé mieux que de scier le bord supérieur du tableau, le tableau perdait donc quelques centimètres de son hauteur, avec le triste résultat que le sommet de la tour disparait presque en dessous du bord intérieur du cadre. Esthétiquement le résultat n’est pas beau du tout. Nous avons repeint digitalement la partie manquante et en même temps nous avons enlevées des restant de vernis brunit qui résidaient dans les feintes des zones de brosse, et nous avons éclaircit le tout vers la fraicheur originale du coloris. Ci-dessous vous voyez le résultat avant et après.
Sur le tout de la surface peinte on a enlevé les égratignures, les taches sales et dito. Un travail de moine sur échelle minuscule. Mais dans la vue globale le tableau apparait plus frais et nette, sans aucun doute plus près de l’original quand il quittait jadis l’atelier de Maitre Pieter Bruegel l’Ancien.
Autres dégâts qu’on remarque régulièrement sont les fentes ou les planches du panneau se joignent. Comme porteur on employait des planches en chêne Baltique qui étaient jointes par colle animale. Par les fluctuations de température et taux d’humidité des dégâts s’établissaient à la hauteur des fentes (voir long cadre vert). Ces dégâts étaient dissimulées dans des restaurations postérieures par de la peinture avec une composition de pigmentation différente, qui par définition décolorait au cours du temps différemment de la couleur originale. En plus parfois la peinture s’écaillait parfois sur des endroits (voir cadre court vert). Digitalement nous sommes en mesure de remédier a toute cette panoplie de dégâts. Comme se fut le cas dans l’exemple ci-dessous, « La chute des Anges rebelles » de Pieter Bruegel l’Ancien.
Masterpieces limite son portfolio à des peintures dont nous disposons des données digitales en très haute résolution. Pendant ses prises de vue on applique un long temps d’obturation. Ce qui cause un défaut typique supplémentaire. Dans le vernis qui couvre la surface des peintures se trouvent des petites bulles d’air minuscules qui pour autant vont refléter fortement la lumière de la prise de vue et vont apparaitre comme des centaines de pointes blanches dans l’enregistrement. Ce qui affecte l’aspect et la colorie de l’œuvre. Donc on enlève pointe par pointe.
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